Après 14 mois de mobilisation, des épouses ou des sœurs de soldats mobilisés réclament leur retour. Les militaires n’ont que très peu de permissions et les pertes, même s’il n’y a aucune statistique officielle, sont importantes. Ce n’est pas la première fois que le pouvoir russe est confronté à des protestations de femmes, qui étaient moins audibles ces derniers mois. Leur mouvement qui semble né sur les réseaux sociaux, monte dans plusieurs villes.
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